Gallié & Sorel – Algernon Woodcock


algernon sorelQuel plaisir de retrouver une nouvelle aventure fantastique des jeunes médecins Algernon Woodcock et William McKennan. Un William McKennan qui, muni de son chapeau, m’a physiquement d’ailleurs fait fortement penser à Lucien Lurette, le personnage central de « Qui a tué l’idiot ».

Cinq années après les faits contés dans le cycle précédent, Algernon Woodcock se revoit confronté aux étranges phénomènes qu’il avait tenté de refouler pendant tout ce temps. Il se voit réquisitionné par l’Instance Supérieure Juridique de l’île d’Arran dans le cadre d’une affaire impliquant une mystérieuse femme accusée d’un sanguinaire septuple meurtre sur des fillettes. L’enquête du lecteur peut commencer.

On retrouve les mêmes décors (ciel nuageux, temps pluvieux, maisons rustiques éclairées à la bougie) que dans les deux tomes précédents et on ne s’en lasse toujours pas car c’est graphiquement somptueux.

Me voilà de nouveau happé par l’ambiance de ce nouveau diptyque d’Algernon Woodcock. Un album qui commence intelligemment en faisant le point sur le premier cycle, pour finir en apothéose.

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