Seth – La Vie est belle malgré tout
Lente introspection de l’auteur de George Sprott
« La Vie est belle malgré tout » est un récit autobiographique, voire même un brin nombriliste.
Tout en partageant sa passion pour les anciennes bandes dessinées, Seth (Wimbledon Green, George Sprott) nous invite à partir à la recherche des travaux d’un dessinateur ayant connu un petit moment de gloire dans les pages du célèbre New Yorker Magazine, avant de tomber dans l’oubli.
Cette quête frénétique et somme toute assez déraisonnable résulte finalement en une forme d’introspection de l’auteur. Cette manie qu’il a à s’accrocher au passé afin de fuir le présent baigne le récit dans une forme de nostalgie et de mélancolie assez réussie.
Le dessin minimaliste en bichromie accompagne d’ailleurs parfaitement cette lente introspection pleine de nostalgie.
Allez découvrir les autres BDs du mercredi sur le blog de Mango !
1 février 2012 à 13 h 54 min
Un récit un brin nombriliste ? Pas trop mon truc, je passe.
1 février 2012 à 13 h 57 min
Tout à fait le genre que j’aime. Bien que tu ne lui aies accordé que trois étoiles je pense que cet album pourrait me plaire. On est loin en effet de tes trois dernières participations du mercredi autrement plus sombres et dramatiques! Reste la nostalgie cependant, pas non plus la franche gaieté! 🙂
1 février 2012 à 15 h 45 min
je m’interroge ne connaissant pas l’auteur
1 février 2012 à 16 h 07 min
Pas sûre d’être tentée cette fois ci, je n’aime pas trop les récits nombrilistes…
20 novembre 2012 à 9 h 58 min
[…] chroniques : Mitchul, Yvan, nside, du9, Héros aire K, Nicolas, Julien […]