Pascal Rabaté – Bienvenue à Jobourg
Les parfums irrésistibles de l’Afrique !
Ce one-shot de Pascal Rabaté nous invite à suivre les pas d’un Français qui arrive en Afrique du Sud pour y travailler deux mois dans une imprimerie de Johannesbourg. La première impression qu’il reçoit de cette ville dont le record de criminalité fait fausse note au sein des guides touristiques, lui donne envie de rentrer au plus vite en Hexagone.
Derrière cette réalité économique et la violence qui rythme le quotidien de la ville, Patrick va néanmoins découvrir les parfums irrésistibles de l’Afrique. Les dreadlocks qui lui poussent sur la tête ne font que refléter le changement de perception de cet occidental qui se laisse lentement envoûter par l’ambiance locale.
Au niveau du graphisme, Rabaté délaisse le style allongé, malsain, sombre et grisâtre d‘Ibicus pour un style plus léger. Abandonnant le noir et blanc et utilisant seulement quelques couleurs pour mettre en images cette période de post-apartheid, l’auteur propose des tons justes et une ambiance légère malgré ce fond de violence qui alimente régulièrement le sentiment d’insécurité qui masque les charmes du pays.
Allez découvrir les autres BDs du mercredi sur le blog de Mango !
11 avril 2012 à 9 h 46 min
Peut-être, ton billet est assez neutre et tes trois étoiles ne montrent pas un coup de coeur.
11 avril 2012 à 18 h 21 min
En effet, ce n’est pas mon préféré de Rabaté 😉
11 avril 2012 à 10 h 47 min
Ton billet m’intrigue: je me demande ce qui a pu faire changer si radicalement ses premières impressions sur ce pays.
11 avril 2012 à 12 h 36 min
Tiens, voila un Rabaté que je ne connais pas du tout. A feuilleter pour ce faire une idée…
11 avril 2012 à 13 h 30 min
Je reste perplexe… mais pourquoi pas!
11 avril 2012 à 15 h 03 min
Idem, à feuilleter et pourquoi pas 🙂
11 avril 2012 à 15 h 04 min
J’ai aimé le seul Rabaté que j’ai lu jusqu’à présent, vais-je continuer ma découverte de cet auteur avec ce titre ? A voir, j’aurais aimé voir quelques planches, je vais mener ma petite enquête…! 😉
11 avril 2012 à 18 h 20 min
C’est un bon album, mais ce n’est certainement pas le meilleur Rabaté. Je conseillerais plutôt « Les petits ruisseaux », « Ibicus », « La Marie en plastique »…
15 avril 2012 à 17 h 00 min
Plusieurs fois feuilleté, plusieurs fois reposé… Allons bon, ce Rabaté-là m’intrigue tout de même et le fait que tu en parles n’arrange rien à cela 🙂
25 janvier 2013 à 7 h 02 min
[…] chroniques de David, Yvan, Fildediane, […]
12 avril 2015 à 11 h 27 min
[…] graphique libre par Pascal Rabaté. Le Tourangeau, connu pour ses titres Un ver dans le fruit, Bienvenue à Joburg, Le petit rien tout neuf avec un ventre jaune ou encore Les petits ruisseaux (adapté au cinéma en […]